Blog de Philippe KALTENBACH, Sénateur des Hauts-de-Seine

Vernissage de l'exposition "Sculptures parcours en Ville"

 Le vernissage de l’exposition « Sculptures parcours en Ville » s’est tenu hier soir au centre socio-culturel du Pavé Blanc en présence de très nombreux Clamartois.

Entre 2009 et 2011, neuf pays d’Amérique Latine célèbrent le bicentenaire de leur indépendance. L’an passé, l’Equateur et la Bolivie. Cette année, l’Argentine, le Chili et la Colombie. L’an prochain, le Salvador, le Paraguay et le Venezuela.

 

Je suis très heureux que Clamart prenne part à ces commémorations en accueillant « un peu de Colombie » et en exposant une trentaine d’œuvres de l’artiste Edgardo CARMONA VERGARA.

 

L’ambassadeur de la Colombie en France, Monsieur Fernando CEPEDA ULLOA nous a fait l’honneur de sa présence lors de ce vernissage.

 

Les œuvres de Monsieur Edgardo CARMONA VERGARA sont exposées dans un contexte très populaire, au contact de tous les publics.

 

Le parcours de sculptures en ville a été conçu de sorte à mettre un coup de projecteur sur les nombreuses évolutions de Clamart depuis 2001.

 

 Vous avez donc pu croiser ces œuvres dans nos médiathèques, le guichet unique, le Parc Maison Blanche, ou encore sur la nouvelle place de la Mairie que nous inaugurerons prochainement.

 

La volonté de rendre la culture accessible à tous est au cœur de nos préoccupations. Depuis 2001, c’est le sens de l’action municipale.

 

En réalisant nos deux médiathèques, nous avons voulu créer de véritables lieux de vie et d’échange pour tous les Clamartois.

 

Le théâtre Jean Arp a fait l’objet d’une importante rénovation et nous avons créé le cinéma Jeanne Moreau.

La salle des fêtes municipale permet désormais au tissu associatif clamartois, partenaire incontournable de la Ville pour les manifestations culturelles, de disposer d’un équipement adapté à son dynamisme et à sa richesse.

 

Nous avons aussi réalisé des ateliers d’artiste à la Plaine et réouvert la bibliothèque du Jardin Parisien dans la nouvelle maison de quartier.

 

Certains membres de l’opposition municipale veulent réduire cette politique culturelle à des actions « de prestige », « superflues ».

 

André Malraux disait que « la Culture… c’est ce qui a fait de l’homme autre chose qu’un accident de l’Univers ». Nous poursuivrons donc nos efforts au service de la Culture pour tous Clamart.

 

Police Nationale : La baisse des effectifs se poursuit

 A ma demande, j’ai rencontré hier le Préfet de Police pour l’interpeller sur la baisse continue des effectifs du commissariat de Clamart.

 

En 2002, lorsque M. Sarkozy est devenu Ministre de l’Intérieur, notre commissariat, qui est aussi en charge de la sécurité publique dans la commune du Plessis Robinson, comptait 130 agents. Aujourd’hui, ils ne sont plus que 98, soit une baisse de 25% des effectifs.

 

Une récente enquête a établi que notre commissariat était, après celui de la commune du Vésinet dans les Yvelines, le plus mal doté d’Ile de France (en nombre de policiers par habitant).

 

Le Préfet de Police a reconnu que ces effectifs étaient insuffisants et s’est dit prêt à envisager leur renforcement.

 

 La politique d’affaiblissement des services publics conduite par le Gouvernement affecte donc aussi largement le domaine sécuritaire.

 

La Révision générale des politiques publiques dans les forces de sécurité, voulue par l’UMP et M. Sarkozy, va conduire à la destruction de 11 400 emplois d’ici 3 ans.

 

Cette diminution des effectifs intervient au pire moment. En effet, de nouvelles missions de sécurité vont peser sur les épaules des agents : les compagnies de sécurisation dans le cadre du plan Banlieues, la nouvelle police d’agglomération ou encore le plan de lutte contre les bandes ou celle contre les violences familiales. Comment ces nouvelles missions vont-elles pouvoir être conduites sereinement avec de telles réductions d’effectifs ?

 

Le piètre bilan de M. Sarkozy sur le plan de la sécurité publique n’a donc pas la moindre chance, en dépit d’une multiplication des déplacements présidentiels sur le sujet et des effets d’annonce, de s’améliorer d’ici 2012.

 

Déficit de l'Etat : La crise a bon dos !

 Jérôme Cahuzac, qui a succédé à Didier Migaud à la tête de la Commission des Finances de l'Assemblée Nationale, est catégorique sur les causes du déficit de l'Etat : 70 milliards €, soit plus de la moitié du déficit accumulé par l'Etat Français l'an passé (138 mds €), sont directement imputables à la politique et aux choix du Gouvernement.

En effet, ces 70 milliards € correspondent aux multiples allègements d'impôts consentis par le Président de la République depuis 2007. Ces nombreuses baisses d'impôts, la grande majorité des Français n'en a pas bénéficié. Leurs effets sur la Croissance économique se font en outre toujours attendre.

 

Seulement aujourd'hui, le Chef de l'Etat et son Premier Ministre, acculés, viennent de décréter la rigueur et l'austérité budgétaire. Et cette fois-ci, c'est bien la grande majorité des Français qui va être mise à contribution.

 L'ancien Président de la Cour des Comptes, Monsieur Seguin, n'avait pas manqué de faire le même constat et de condamner la politique fiscale de Monsieur Sarkozy et de son Gouvernement.

 

Une politique fiscale aussi injuste qu'inefficace, motivée par des choix idéologiques, qui a mis les comptes de l'Etat dans "le rouge". La crise a décidément bon dos lorsque le Gouvernement justifie l'emballement du déficit et de la dette publique par les déboires que rencontrent l'Economie française.

 

La Chambre Régionale des Comptes épingle le SEDIF

 Le rapport rendu par la Chambre régionale des comptes d’Ile de France et dont le comité syndical a pris acte ce 20 mai, est accablant pour la gestion du service de l’eau par Véolia et le SEDIF, et alarmant pour le contrat en cours de négociation avec la même Véolia. 

Appelé à examiner les comptes et les rapports du SEDIF avec son délégataire historique du service de la distribution d’eau potable pour 4,2 millions d’habitants en Ile de France, depuis 2002, la CRC s’est montrée particulièrement sévère sur le contrat de régie intéressée conclu en 1962 et moult fois modifié relevant de graves illégalités.

 

1/ Sur la nature des relations avec le régisseur (Véolia)  et la procédure d’attribution du contrat d’exploitation

 

Le Syndicat estime que ses relations avec l’exploitant du service relèvent de la délégation de service public, soumise à des obligations de mise en concurrence relativement souples.

 

La Chambre considère au contraire qu’elles présentent plutôt les caractéristiques d’un marché public, relevant des procédures de mise en concurrence, beaucoup plus contraignantes, prévues par le code des marchés publics.

 

Cette analyse concerne tant la procédure d’attribution du contrat actuellement en vigueur que celle de son renouvellement.

 

Pour la Chambre, les conditions de rémunération de l’exploitant, qui n’assume pas une part suffisamment substantielle du risque de son exploitation, ne répondent pas aux critères légaux d’identification d’une délégation de service public.

  2/ Sur les travaux confiés à Véolia

 

La Chambre constate que des travaux pour un montant de plus 186 millions d’euros ont été illégalement attribués à Véolia en violation des règles du code des marchés publics.

 

3/ Sur les comptes du service

 

La Chambre relève que les comptes du service ne permettent pas de donner une image du résultat de sa gestion, de son patrimoine et de sa situation financière, contrairement aux obligations prescrites par l’article 47-2 de la Constitution.

 

Elle constate en outre « l’utilisation d’une comptabilité tronquée »  qui « rend nécessaire la création de subterfuges comptables pour en pallier certains des inconvénients ».

 

En définitive, les conclusions de la CRC font apparaître :

 

- Que Véolia n’assume pas les risques de son exploitation,

- Que le contrat d’exploitation lui a été attribué selon une procédure de mise en concurrence juridiquement contestable,

- Que plus de 186 millions d’euros de travaux ont été illégalement payés à Véolia,

- Que les comptes du service sont tronqués.

 

Comme seule réponse à ces griefs précis devant le Comité syndical du 20 mai, le SEDIF oppose une défense consistant à attaquer et à mettre en cause l’impartialité de la Chambre régionale des comptes, par voie d’insinuations.

 Je constate que le SEDIF ne contrôle décidemment pas correctement son délégataire, la société VEOLIA, et se soustrait bien fréquemment à ses obligations légales de mise en concurrence, jusque et y compris pour des travaux de 186 millions d’euros. 

 

C’est symptomatique, il a d’ailleurs fallu l’intervention de la CRC pour que le SEDIF fasse diminuer les frais de siège facturer par Vivendi, devenue Veolia, aux usagers, de 14 millions € à 7 millions €, sans pour autant que les abonnés récupèrent les trop perçus. Aujourd’hui, on comprend bien que ce système de gestion que l’on nous décrit comme « aux risques et périls » des sociétés de l’eau se fait en réalité à leurs bénéfices et profits. La CRC relève que VEOLIA dans l’ancien et le projet de nouveau contrat n’assure pas vraiment le risque d’exploitation. 

 

Clairement pour la CRC, les comptes de ce contrat sont opaques, et le resteront probablement. Nous ne serons donc pas, une fois encore en état de les contrôler et d’assurer la transparence de la gestion du service. Ce rapport nous conforte donc pour exiger, de plus fort encore, la gestion en régie publique directe de l’eau !

 

Téléchargement Rapport CRC SEDIF

L'Etat ne devrait finalement pas faire obstacle au projet Arc Express

Députés et sénateurs se sont accordés ce jour pour ne pas bloquer le projet Arc Express de transport soutenu par la Région Ile-de-France.  

En effet, lors de son examen par le Sénat, un amendement UMP, prévoyant l’annulation du débat public relatif au projet Arc Express, avait été adopté. La Gauche n’avait pas manqué de dénoncer ce nouveau déni de démocratie. Arc Express, en créant un métro de rocade en petite couronne, permettra de favoriser les déplacements domicile-travail en facilitant les trajets de banlieue à banlieue.

 

Le coût de ce projet de transport (9 milliards €) est 3 fois inférieur à celui du Gouvernement (30 milliards), un super métro automatique reliant les grands pôles économiques aux aéroports parisiens, et qui est largement déconnecté des attentes de la majorité des franciliens en ne répondant essentiellement qu’à une demande de trajet travail-travail (5% des déplacements).

 

Malgré cette avancée, le projet de « Grand Paris » voulu par le Chef de l’Etat reste ce qu'il est sur le fond : élitiste, favorisant la spéculation et niant le rôle des collectivités locales

Génocide arménien : Rassemblement devant le Sénat

 Nous étions très nombreux hier, comme chaque année, rassemblés devant le Sénat, pour réclamer l’examen par la Haute Assemblée de la loi visant à sanctionner la négation du génocide arménien. 

La loi votée par l'Assemblée Nationale le 12 octobre 2006, sur initiative des députés socialistes, n'a toujours pas été présentée devant les sénateurs. Le Président de la République s’y était pourtant engagé. Qu’attend-il ? Les pressions exercées par la Turquie ne sont sans doute pas étrangères à ce coupable attentisme.

 

Lors de ma prise de parole, j’ai voulu revenir sur plusieurs faits marquants intervenus récemment.

 

Tout d’abord, Le 7 avril dernier, Monsieur Erdogan, Premier Ministre turc en visite officielle en France, a rassemblé 6 000 turcs vivant en France au Zenith. Il a enjoint les participants à cette manifestation à « prendre la double nationalité » et à devenir « les représentants de la Turquie en Europe ».

 

De tels propos sont-ils acceptables ? Non bien sûr. Monsieur Erdogan, on ne demande en aucun cas la nationalité française pour devenir le porte-parole de son pays d’origine. Je suis d’ailleurs étonné du silence complice du Gouvernement français qui aurait dû réagir à ce propos inacceptable d’un chef de gouvernement étranger sur le territoire national.

 De plus, dans l’esprit de M. Erdogan il ne fait aucun doute que le représentant de la Turquie devient aussi l’ambassadeur du négationnisme. Celui qui devient citoyen français doit adhérer aux valeurs de la République : Liberté, Egalité, Fraternité. Et ces valeurs sont incompatibles avec le négationnisme. Faut-il rappeler que la France a officiellement reconnu le génocide des arméniens par la loi du 29 janvier 2001 et que nul n’est censé ignorer la loi.

 

J’ai aussi voulu rappeler que les mentalités continuent tout de même d’évoluer. Cette année, la Catalogne et la Suède ont officiellement reconnu le génocide. Les Etats-Unis ont aussi fait un nouveau pas. Le 24 avril dernier, des intellectuels turcs ont manifesté sur la place Taksim, au coeur de la partie européenne d'Istanbul, mais également sur les marches de la gare d'Haydarpasa d'où est parti le premier convoi de déportation qui emmenait vers la mort les élites arméniennes.

 

Cela montre bien qu’en Turquie, comme partout d’ailleurs et sans oublier notre propre pays, nous avons besoin d’intellectuels qui s’engagent en faveur des droits de l’Homme. Face à ceux qui se disent pragmatiques, réalistes, il faut que des voix s’élèvent pour défendre nos principes moraux qui ne doivent jamais être sacrifiés.

 

Parce que la négation d’un crime contre l’Humanité n’a pas sa place au sein de notre République, celle-ci doit être sanctionnée. 

 

SEDIF : Un scénario cousu de fil blanc !

 Suez Environnement a annoncé ce jour avoir été écarté de l'appel d'offres pour la distribution d'eau potable des communes d'Ile-de-France, ce qui devrait permettre à Veolia de conserver le contrat dont la multinationale est titulaire depuis 1923. Ce contrat, le plus gros de ce type au monde, représente aujourd'hui un chiffre d'affaires annuel de 350 millions d'euros. Il arrive à son terme le 31 décembre 2010.

 

C’est un scénario « cousu de fil blanc ». Cette décision prévisible démontre une nouvelle fois la connivence qui existe entre Véolia et le Président du SEDIF, M. Santini. Ce dernier avait même poussé la collusion jusqu’à écrire en 2008 aux 144 maires des communes adhérentes au Syndicat des Eaux d’Ile de France sur un papier à entête de l’entreprise Véolia.  M. Proglio va enfin pouvoir quitter, soulagé, son poste au Conseil d’Administration de Véolia !  

 Les délégués du SEDIF ont une nouvelle fois été tenus à l’écart de cette décision.  Alors que les études réalisées par « Que Choisir » dénonçaient des surfacturations de la part de Véolia d’un montant de 80 millions € et que celles commandées par le Président du SEDIF lui-même les évaluaient à 45 millions €, nous étions en droit d’attendre la plus grande transparence dans l’élaboration du nouveau contrat.

 

Avec de nombreux élus de Gauche et des associations de consommateurs, je milite en faveur d’un retour à une Régie directe de l’eau au sein du SEDIF, à l’instar de ce qui a été fait à Paris avec Eaux de Paris. C’est la seule garantie d’une véritable maîtrise des coûts et du meilleur tarif pour les usagers. Il n’est plus tolérable de voir de grandes entreprises réalisées des profits colossaux aux dépends des usagers de services publics pourtant vitaux. Véolia, sans prendre le moindre risque industriel, a joui pendant des décennies d’une véritable rente de situation.

 

Il faut garder à l’esprit qu'il appartient au Comité syndical du SEDIF, qui se réunira le 24 juin prochain, d'approuver le contrat et d’autoriser son Président à le signer. D’ici là, nous nous emploierons à convaincre les élus du SEDIF que l'intérêt des usagers franciliens est bien celui de la régie publique et non pas de renouveler les rentes de situation d’une multinationale.

 

Retrouvez mon entretien à L'Expansion.com

Projet de départ du pôle R&D d'EDF : L'Etat tente de combler le vide de son projet de "Grand Paris" !

 Le pôle R&D d’EDF est implanté à Clamart depuis 60 ans. Ses nombreux salariés vivent majoritairement à proximité. L’actuel site clamartois offre en outre toutes les possibilités de réaménagement souhaitées par l’entreprise.

Pourquoi quitter Clamart alors que, dans deux ans, EDF profitera de l’arrivée du tramway T6 ? Le grand projet de métro qui desservira le plateau de Saclay, promis par le Chef de l’Etat, sera mis en service, dans le meilleur des cas, en 2025 ! 

 Ce projet de départ précipité reflète parfaitement le vide du projet de « Grand Paris » voulu par M. Sarkozy. Il y encore deux ans, EDF réfléchissait à réorganiser son site  de Clamart. Ce déménagement va générer un coût important pour l’entreprise, éloigner les salariés de leur domicile et ce, juste pour satisfaire la volonté présidentielle ! C’est parfaitement absurde. 

 

Je regrette le départ de ce pôle qui fait partie du paysage clamartois mais je ne suis pas inquiet pour la reconversion de ce site. Son potentiel est très important et sa forte attractivité sera encore renforcée par l’arrivée prochaine du tramway. Plusieurs grandes sociétés viennent de s’installer à proximité comme OPTIC 2000 et LA Medical et d’autres implantations seront prochainement annoncées.

Rencontre avec l’Inspecteur d’académie : des moyens supplémentaires pour le collège Maison Blanche

 Suite à ma rencontre avec l’Inspecteur d’Académie, j’ai obtenu des moyens supplémentaires pour le collège Maison Blanche.

  

Accompagné de mon adjoint en charge de la vie scolaire et de professeurs et représentants de toutes les fédérations de parents d’élèves du collège Maison Blanche, j’ai été reçu mercredi 12 mai par l’Inspecteur d’Académie de l’Education Nationale dans les Hauts-de-Seine. 

 

J’ai souhaité l’interpeller sur la baisse de la Dotation Horaire Générale du Collège Maison Blanche prévue pour l’année scolaire à venir.

 

Cette diminution avait pour conséquences la remise en cause d’un important projet pédagogique en faveur des enfants dyslexiques, lancé il y a 4 ans, et la perte, par les classes de 3ème du collège, de 30 minutes de cours d’histoire-géographie par semaine (3h30 au lieu de 4h dans tous les autres collèges des Hauts-de-Seine).

 

 Après négociations, l’Inspecteur d’Académie m’a assuré de l’octroi de 13 heures supplémentaires de DHG :

 

- 10 heures seront affectées au projet en faveur des enfants dyslexiques, qui pourra ainsi se poursuivre au sein de l’établissement.

 

-  3 heures seront inscrites aux cours d’histoire-géographie des élèves de 3ème, qui pourront ainsi bénéficier de 4h d’enseignement par semaine, comme l’ensemble des autres collèges du département.

 

Par ailleurs, lors de cette réunion, promesse m’a été faite de la réouverture d’une classe à l’école maternelle Jean Monnet et de la non fermeture d’une classe à l’école élémentaire Garenne (sur le secteur du Réseau Réussite Scolaire), si les effectifs communiquées par la Mairie de Clamart à l’Inspection Académique sont confirmés.

 

Je me félicite que, grâce à l’action commune des professeurs, des parents d’élèves et des élus municipaux, nous ayons pu obtenir satisfaction sur ces demandes.

 

 

Clamart / Lüneburg : 35 ans de jumelage

 C’est avec un immense plaisir que je me rendrai demain à Lüneburg pour célébrer le 35ème anniversaire de notre jumelage. 

Le 14 juin 1975, mon prédécesseur à Clamart, Monsieur Jean FONTENEAU, et Monsieur Alfred TREBCHEN, Maire de Lüneburg à l’époque, concrétisaient cette amitié naissante par un jumelage entre nos deux communes.

 

En 1975, les serments du jumelage prévoyaient déjà des échanges scolaires, culturels et sportifs, des rencontres entre industriels et commerçants de nos deux villes.

 

Il avait été décidé que nos équipements municipaux, et notamment nos centres de vacances, pourraient être utilisés à des fins touristiques et éducatives.

 

Ces objectifs ont été largement atteints et même dépassés. Mais il nous reste encore tant à découvrir, tant à partager.

 

Clamart continuera de porter la plus grande attention à la vitalité des liens qu'elle entretient avec ses villes jumelles en Allemagne, en Arménie, en Angleterre, au Portugal ou en Espagne.